La blessure est inévitable, la souffrance est optionnelle.
Le vieil homme et la mer, chef-d’œuvre littéraire signé Hemingway, avec ses prix prestigieux et ses cinq millions d’exemplaires écoulés deux jours après sa sortie, n’est pas un roman consacré à la pêche, n’est pas un roman dédié à la vieillesse comme on a pu le lire parfois, non, il est bien plus que cela. Il est un récit initiatique au rythme frénétique qui oppose l’Homme aux forces de la nature, sa petitesse à la majesté des éléments, son ambition démesurée aux forces qui le dépassent.
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